J'en connais un qui se souviendra de sa nuit en haut du Montcalm.
Une bien belle récompense.
Un beau sac !!!
J'ai été gâté pour mon anniversaire et j'en remercie encore Cécile.
Voilà d'ici une semaine je suis dans mon espace préféré vivement que je dépasse les 2000m l'histoire de pouvoir respirer. A bientôt
Pour fêter l’arrivée de l’été, Azinat invitait ce matin à l’aube (via Facebook), les ariégeois les plus motivés, à venir admirer le rayon du soleil qui traverse les meurtrières (ou archères) du château de Montségur. Levés à 4h00 du matin pour la plupart, ils étaient au rendez-vous dès 5h00 sur la parking au pied du château. Après 10 minutes d’ascension pour les plus experts, l’attente a été de courte durée et d’autant plus conviviale qu’Azinat avait amené le café et les “chocolatines”. Ce 21 juin commençait sous les nuages et dans la pénombre, mais vers 6h13, le soleil nous a fait don de ses premiers rayons : spectacle grandiose pour la quarantaine de courageux qui avaient bravé la côte et le ciel peu engageant !! Merci à tous d’être venu et en particulier Pascal de France 3, Cecile de la Gazette, la dépêche du midi et les amis d’azinat sur Facebook ! On remettra ça l’année prochaine !!
Jeudi matin, à 7 h 46, un appel de la préfecture signalait à la mairie de Tarascon l'état de vigilance renforcée dans lequel était placée la vallée du Vicdessos, suite à la menace de submersion du barrage de Gnioure. Aussitôt était installé à la mairie un PC chargé, en liaison avec les services de l'État, de protéger les populations notamment les plus fragiles : crèche, écoles, collège, hôpital… bref de mettre en œuvre son plan communal de sauvegarde.
Même scénario à la mairie de Niaux où il était organisé l'évacuation de l'école.
Heureusement, ce n'était qu'une simulation ! Décidé par le préfet dans le cadre du plan particulier d'intervention, cet exercice inhabituel visait à mesurer les capacités réactives des personnels impliqués et à vérifier que chacun prenait sa place dans le grand dispositif qui serait déployé en cas de catastrophe véritable. Ainsi, le but premier n'était pas d'établir un score de rapidité, mais de roder les procédures du PPI : que chacun comprenne ce qu'il a à faire, comment il doit le faire, quels sont ses interlocuteurs.
L'exercice a duré jusqu'à 13h30 et se jouait aussi en préfecture où était réunie sous la responsabilité du directeur du cabinet du préfet, Laurent Vigneau, la cellule de crise « alimentée » en événements dramatiques par la cellule d'animation dirigée par le colonel Christian Justine. Ce dernier avait été chargé de concevoir les différentes phases de cet exercice et, avec ses collaborateurs, d'évaluer en temps réel les réactions et décisions prises par les acteurs de la cellule de crise : « L'opération s'est bien passée dans l'ensemble ; une analyse plus fine permettra, ensuite, d'en tirer tous les enseignements.
L'association Le Chemin de la liberté organise sa dix-septième randonnée commémorative et pour satisfaire le plus grand nombre, le colonel Guy Séris et son équipe proposent deux formules : la grande traversée en quatre jours les 8,9, 10, 11 juillet et la haute montagne en deux jours les 10 et 11 juillet. Le jeudi 8 juillet, rassemblement au pont du Chemin de la liberté, à Saint-Girons, à 6 h 45 ; à 7 heures, cérémonie du départ ; à 7 h 15, en route vers le col de Lartigues où un buffet froid sera servi ; l'arrivée à la stèle des Evadés de France, à Aunac, est prévue à 17 h 45. Le gîte et le couvert du soir auront pour cadre la maison du haut Salat et le gymnase de Seix.
Vendredi 9, les randonneurs emprunteront le GR 10 pour se rendre à Esbints et au col de la Core.
A la cabane de la Subera, fin de l'étape, chacun assurera sa propre autonomie pour son repas et son couchage.
Samedi 10, arrivée à 8 heures des randonneurs de « haute montagne » ; après le franchissement du col des Crabérous, le passage à l'étang de Milouga et au col de Pécouch, tout ce beau monde atteindra dans la soirée le refuge des Estagnous. Dimanche 11, départ à 8 heures pour franchir le col de la Claouère (2 522 m), point de passage de la frontière. Un service de 4 x 4 assurera le transport jusqu'à Isil, en Espagne, et le transfert à Esterri se fera en autocar. A 18 heures, une cérémonie d'accueil, organisée par les amis catalans, clôturera ces journées du souvenir et du devoir de mémoire. La dernière version de ce pèlerinage vers l'Espagne pour honorer les passeurs s'adresse à un public plus large et devrait connaître un beau succès car, comme chaque année, des randonneurs du monde entier sont attendus. Des bénévoles aguerris, des professionnels expérimentés assureront l'encadrement et la convivialité sera de mise tout au long de ces quatre journées.
Un superbe sommet, comme je l'ai apprécie, ce n'est pas le plus haut mais j'y ai passé un bon moment. Parcours: Montée par le Port de la Peyre Saint Martin puis descente sur Campoplano puis remontée sur le col de la Fache ensuite sur crête jusqu'au sommet (3005m)! Descente par le refuge de wallon puis le pont d'Espagne un beau parcours!!!
Majestueux non?
L'ivresse des sommets. La sensation d'être seul au monde. Claude Labatut l'a découverte il y a quelques années. Pour ses cinquante ans, il décide de «s'offrir» l'ascension «d'un 7000m.» C'est la révélation. «Ça m'a donné l'envie d'aller plus loin. J'ai été fasciné par la haute altitude. C'est une sensation unique.» Car Claude met un point d'honneur à effectuer ses ascensions sans oxygène et sans porteurs (excepté jusqu'aux camps de base). «C'est une éthique sur laquelle je ne déroges pas. Quand on est dans les Pyrénées ou dans les Alpes, on n'a pas de porteur.» Ainsi, depuis deux ans, cet Ariégeois du Pays d'Olmes organise des expéditions toujours aussi fascinantes. En 2006, il escalade son premier 8000m.
En 2008, il passe la vitesse supérieure avec le Broad Peek (8047m). Une ascension marquante. «On est resté dix jours sur le camp de base à cause des conditions météo.» Pour la récompense ultime: le sommet tout seul. Magique. Cette sensation d'éternité, Claude Labatut va essayer de la retrouver. Encore et toujours. Direction le Népal et le massif de l'Himalaya. Son terrain de jeu? Le Manaslu (8163m), «Montagne de l'esprit» ou «Refuge de l'âme». Une ascension pas choisie au hasard. «C'est un peu à l'écart de ce qui se pratique d'habitude. C'est un sommet qui n'est pas très fréquenté. Le trek d'approche est très beau, très sauvage.» Six jours au total pour se «mettre dans le bain.» Place, ensuite, à vingt six jours d'ascension. Un «sommet glaciaire» qui se mérite. Les risques? Il y en a, bien sûr mais Claude Labatut fait tout pour les minimiser. «La seule appréhension que j'ai, c'est de n'avoir aucun blessé et de ne pas réussir le sommet.» Et, pour la première fois, ce sera Claude Labatut qui sera le chef d'expédition. Avec toujours son ami Serge Sivéra dans l'ombre, il emmènera avec lui un groupe de 8 personnes. Parmi elles, une féminine (Elsie Lemordant). Une grande première dans l'une de ses équipes. «C'est la grosse nouveauté, rigole Claude Labatut. Mais Elsie n'est pas dans l'équipe parceque c'est une femme mais parceque c'est une vraie alpiniste.» Et Claude Labatut n'a pas lésiné sur les moyens. En France, un routeur météo sera constamment disponible pour lui indiquer les meilleurs «fenêtres météo.» Demain, l'équipe prendra l'avion pour le Népal. Pour six semaines (16 avril-31mai) hors du temps. Pour aller là où peu de monde ose s'engager. On peut appeler ça l'ivresse des sommets.
Vous pouvez suivre en direct l'expédition sur le site www.expe-manaslu.fr.
Voici le cairn sommitale du Cabayrou (Cabagnau) 2733m grimpé en 2004 et 2005 par les deux côtés (nord et sud), de bon souvenirs un peu tendus sur la fin, mais tout se mérite...
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